Tu aurais pris, si tu l’avais pu, ce corps de jouvence et de lumière – l’égarent contre le tien - quelque part à l’intérieur de ton moi fait patiemment de cent guerres perdues – tu chemines toujours vers des oasis depuis longtemps évaporés – un mirage pour horizon incertain – horizon lointain - inaccessible – et face à toi – seul le flamboiement d’un soleil au coucher perpétuelle – tu navigues l’air aux mouvances immobiles – fuyant immuablement. – D'une SIM, jamais on ne peut s'échapper !
l’océan est transpercé d’un mur d’invisibilité.
Tu aurais voulu prendre à bras le corps, ce corps – mais voilà – ici - les corps ne sont que reflets – qu’image convenue d’enlacement – tu jettes vers le vide tes mains – et la chute semble infinie - l’air apparait comme figé - de par un sort jeté – par quelques génies mauvais – Et - bien que les mots paraissent frapper ! – frapper ! - tel une pluie d’été – le sol reste lisse – comme bétonné - asphyxié – indifférant à la nuit envahissant tes périphéries abandonnées – poussières pixelisées. – Une nouvelle année vient de frapper et tu le sais que rien – bien sur – absolument rien - ne dépassera de ses – de tes ...
Souvenirs...
Souvenirs...
Souvenirs...
Puisque tout n’est qu’oublie…
- ÉTERNITÉ -
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